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Compte rendu Talence

Bonjour à tous! Le voila, vous l'attendiez tous, le compte rendu de Talence est arrivé.

        Pour commencer, nous ne sommes partis qu'à trois personnes, Fabrice (es2), Philippe (ets2) et moi même. Les deux autres personnes ne sont pas venus en annulant au dernier moment pour des raisons qui les regarde. Il est juste à noter que cela est dommageable au vue de la confiance et de la responsabilité que cela engageait (nous étions tout de même mandaté par l'its!!) et sachant que de nombreuses personnes voulaient prendre leurs places.

Etait présent 30 école environs soit 250 personnes au total. Les plus grandes villes de france étaient représentées (Lille, Marseille, Lyon, Nantes, Rennes, Toulouse, Paris et Tours bien évidemment!!!!!)

La journée s'est divisée en quatre ateliers principaux. Le premier était l'avenir de nos métiers (le seul où nous n'étions pas présent), le second sur la précarité étudiante(guigui barbu), le troisième sur la réforme et la revalorisation des diplomes (philippe) et enfin le dernier sur la représentativité au niveau nationale (fabrice).

Petite synthèse de chaque atelier:

L'avenir de nos métiers

Nous n'étions pas présent dans cet atelier et donc nous n'avons que la petite synthèse générale de fin de journée comme infos à vous transmettre. Plusieurs points ont été abordés comme:

                                              la distinction entre les ES et les ME soulevant la question de plusieurs diplomes et de l'abus de certaines structures pour économiser de l'argent.

                                             dans la continuité de la loi 2002-2, les usagers intégrés dans la gestion?

                                             la déontologie avec également la question du secret professionnel et de l'éthique.

                                             enfin la gratification a été un peu abordé soulevant les dangers dans la suite pour le secteur public par exemple ou dans la discrimination à l'emnbauche des stages.

 

La précarité étudiante 

Nous avons commencé par relevé tous les gens qui se situent dans une précarité étudiante, faire le constat qu'un étudiant sur deux vit sous le seuil de pauvreté et essayer de trouver les causes concernant notre formation, on a tous recourt à du bricolage, système D ce qui ne fait que désangagé l'Etat sur du long terme.

 Il a été abordé les bourses, (qui ne sont pas égales selon les régions) disant que le fait d'avoir des critères d'admission semblable aux étudiants lambdas parraissait anormal au vue de notre formation spécifique. A été amené l'idée d'une création de bourses professionnelles pour les TSF. 

A été posé que cette formation coute trop cher, que se former en cours d'emploi est très difficile depuis la création de la VAE (les structures ne prennent plus ce genre d'étudiants), il y a des différences notables en ce qui concerne l'obtention des assedics selon la région ou l'on habite (pas plus de deux ans pour certains, non cumulable avec les bourses pour d'autres...)

Proposition d'une école (Metz) qui a crée une enquète sociale sur la précarité étudiante (en partenariat avec un sociologue) et qui voudrait l'étendre à la france entière pour des chiffres plus parlant.

Enfin le thème des gratifications a été abordé. Revendications communes: Gratification pour tous, Public privé E-GA-LI-TE, débloquage immédiat des fonds, financement par un organisme tiers (hors instituts de formation).

Autres revendications; la protection de notre formation par alternance, harmonisation des aides régionales, chartre du stagiaire, allocation estudiantine, RME (revenu minimum étudiant).

Toujours sur le même thème, il est à noter deux courants qui prédominent dans les revendications et la suite du mouvement. Le premier consiste à se battre pour les gratifications, pour modifier le décret. Le second ne tient pas compte des gratifications mais estime que c'est le moment enfin de demander un RME ou qqlch qui lui ressemble en ouvrant ainsi le mouvement et la mobilisation a tous le monde étudiant. Le dernier mouvement voit bien les deux revendications en meme temps.

Proposition d'action: Blocage des stages ( tous le monde en "grève"), blocage des frais de scolarité, manifestation nationale (rassemblement a panam pour la suite), enquète sociale, pérenniser le mouvemt inter-écoles, mobilisation accentuée et unir le max de personnes, syndicaliser le mvt gratification.

 

Revalorisation du diplôme. 

On été abordé dans cet atelier différents points. Par le témoignage de chacun, on observe que la reconnaissance du diplome (niveau 3) n'est pas identique selon les régions.

Il existe la question de la transversalité ou a Toulouse par exemple, chaque cours est partagé par pleins de promotions, on constaste que ce n'est pas le cas partout. Au dela de la forme, on note que sur le fond, la reconnaissance de l'autre dans ses compétences est plus facilement acquise.

Les stages, la place du stagiaire, (gratification), les sites qualifiants repérés sous quels critères, a priori des enquêtes seraient en cours.

Les inquiétudes de chacun font apparaître la volonté de résister au parcellement du métier de TS par la reconnaissance du diplome de niveau 3, par la particulière attention portée à l'autre dans sa fonction (transversalité). Il est évoquer d'élaborer un projet de comité de surveillance (regroupement de professionnel, étudiants et formateurs), faire attention à la chute de la moyenne d'âge à l'entrée en formation (arrêt des formations en cours d'emploi, beaucoup plus de voie directe).

 

La représentativité au niveau nationale.

Dans l'ensemble, il a été noté qu'il était difficile de s'organiser au niveau national.

Plusieurs possibilités envisagées: création d'une association, d'une fédération, d'une coordination. Il a été marqué qu'on ne désirait pas s'associer aux syndicats pour la coordination nationale.

Plusieurs pistes, une délégation par école qui conduirait à une coordination départementale puis régionale puis enfin nationale. A réfléchir puisque le nombre d'école varie selon les départements et régions (15 a paris et une en franche compté par exemple).

La communication inter-écoles est essentielle et doit être accentuée car nous étions que 30 écoles de présentes sur les 350 environs existantes.

Il a été souligné l'importance d'une représentativité au niveau social, une légitimité reconnue et un poids nécessaire quant à la poursuite de nos formations.

 

Après ces ateliers une A.G cloturait cette journée.

Une synthèse de chaque atelier à été faite, puis le débat a été lancé. Ce fut désorganisé assez rapidemment, néanmoins ce qu'il faut en retenir est une date de mobilisation pour le jeudi 3 avril dans chaque régions conernant les gratifications et une date de coordination nationale le vendredi 11 avril. (chaque école devra envoyer 2 délégués pour organiser et amener une réflexion sur des revendications.

 

 

Voila a peu près le compte rendu de cette journée, pour plus d'information contactez moi sur le blog.

Activement. Guigui barbu.

 

 



02/04/2008
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